31 mars LA LUTTE CONTINUE ! ON NE LACHE RIEN ! TOUS EN GREVE !

 

APRES LE COUP DE TONNERRE

DU 9 MARS

TOUS EN GRÈVE LE 31 mars !

 

  • le 29 mars Réunion publique

    D’INFORMATION SUR LE PROJET DE LOI EL KHOMRI OUVERTE A TOUS LES SALARIES-PRIVES D’EMPLOI ET RETRAITES

    18h à la Bourse du travail de Périgueux 26 rue Bodin 

Pour construire

 

Le 31 mars  journée de grève

et de manifestations !

 

10h30 à Périgueux Palais de Justice 

14h : BERGERAC Palais de Justice;

14h : SARLAT place de la Grande Rigaudie.
 

BUS AU DEPART DE TERRASSON POUR VENIR A PERIGUEUX:
- 9h Terrasson Place Marcel Paul;
- 9h10 Le Lardin place Delas;
- 9h20 La Mule Blanche à la station service;
- 9h30 Thenon devant la Gendarmerie;
- 9h40 Milhac Gare parking RD 89. 
Réservations 06 88 76 29 90

Les retouches annoncées par Valls ne changent rien

Disons-le clairement, les annonces faites par le 1er Ministre le 14 mars, à l’issue d’une pseudo concertation avec les organisations syndicales ne changent rien, le but de ces annonces est seulement de tenter de fragiliser le mouvement de contestation. Le gouvernement est fragilisé par le succès de la mobilisation du 9 mars avec 500 OOO manifestants dans la rue. Il craint désormais un mouvement généralisé des travailleurs et de la jeunesse. Nous devons le faire reculer et gagner sur nos revendications !

 

Pas au nom des précaires et privés d’emplois !

Perfidement les promoteurs de la loi El Khomri prétendent casser le droit des travailleur-euse-s pour résorber le chômage. Et d'accuser dans la foulée, les syndicats de défendre uniquement les "insiders" (SIC), c'est-à-dire ceux qui ont un emploi et "de faire le choix du chômage" (re SIC). Comme si faciliter les licenciements créait de l'emploi ! Pour la CGT, troquer un emploi contre des droits n'est pas acceptable! Promettre le pire pour tous(tes) au nom de "l'équité", non merci !

Des licenciements à volonté

Dans les faits, ce sont les licenciements à volonté qui sont offerts aux patrons: un(e) salarié-e qui refuserait une modification (baisse de salaire, modification du temps de travail, des horaires,…) de son contrat de travail pourrait être licencié, une entreprise pourrait faire un plan de licenciements même en l'absence de difficultés économiques, et de toutes façons, même illégal le licenciement ne coûtera pas grand-chose aux patrons (seuil indicatif des indemnités aux Prud'hommes) 50 milliards d'aides aux entreprises 

Si cette loi venait à passer, évidemment le chômage connaitrait une nouvelle poussée! D'où un effet 2ème lame, avec la renégociation de l'assurance chômage! Prévoyant un déficit de 4,4 milliards d'€, le patronat veut réduire la durée d'indemnisation à 12 mois et d'en baisser le montant "dégressivement" pour faire face aux nombreux nouveaux chômeurs, sans augmenter le budget de l'UNEDIC! Ben voyons! Que sont ces 4,4 milliards d'€ de déficit, au regard des 50 milliards d'aides perçues par les entreprises dans le cadre du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE) ? Et sans avoir créé un seul emploi en contrepartie !

Ces contre-réformes ne doivent pas passer! C'est l'affaire de tou-te-s celles et ceux qui n'ont que leur force de travail pour subvenir à leurs besoins que d'empêcher ce retour vers le XIXème siècle au temps de Germinal! Le 31 mars soyons tou-te-s dans la rue pour bloquer ces régressions sociales.

Des solutions existent, amplifions la mobilisation.

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LE 9 MARS 2016 TOUS EN LUTTE POUR LE RETRAIT DU PROJET DE LOI EL KHOMRI

REFORME DU CODE DU TRAVAIL

« Un retour au 19ème siècle »

LE 9 MARS 2016

TOUS EN LUTTE POUR LE RETRAIT DU PROJET DE LOI EL KHOMRI

Manifestations  Les photos du 9 mars 2016

11h30 à Périgueux départ devant le palais de Justice

16h à Sarlat départ Place de la Grande Rigaudie

17h30 à Bergerac départ devant le palais de justice

17h à Terrasson départ place de la liberté

Le projet de réforme du Code du Travail porté par la Ministre Myriam El Khomri est une attaque sans précédent contre le monde du travail et les droits des salariés. En effet, il vise, entre autre, à inverser la hiérarchie des normes pour que l'accord d'entreprise prédomine tant sur le Code du travail que sur les Conventions Collectives.

Pourquoi ce projet est-il dangereux ?

Actuellement, la « hiérarchie des normes » signifie que les droits du salarié partent du Code du Travail pour aller jusqu'au contrat de travail en passant par des conventions et des accords :

Code du travail ----> Accords de Branche ---> Conventions Collectives ----> Accords d'Entreprise ----> contrat de travail

La particularité est que chaque négociation ou accord ne peut-être que plus favorable au salarié (une Convention améliore le Code du Travail, un Accord d'Entreprise améliore une convention etc.…).

Vouloir inverser cette hiérarchie pour privilégier l'accord d'entreprise est donc lourd de conséquence puisque c'est la condamnation à mort du Code du Travail !

Faire croire que ces accords reflèteront les souhaits de la majorité des salariés est une fumisterie : En effet, un syndicat ayant recueilli 30 % des voix aux élections professionnelles pourra, par voie référendaire, faire valider un accord pourtant moins favorable que la Loi !  

Mais ce n'est pas tout…

Lire la suite : LE 9 MARS 2016 TOUS EN LUTTE POUR LE RETRAIT DU PROJET DE LOI EL KHOMRI

LE 17 MARS 2016 LA LUTTE CONTINUE POUR LE RETRAIT DU PROJET DE LOI EL KHOMRI

LE 17 MARS 2016

LA LUTTE CONTINUE POUR LE RETRAIT DU PROJET DE LOI EL KHOMRI

Manifestation 17h30

à Périgueux départ devant le palais de Justice

 à Bergerac départ devant le palais de Justice

 à TERRASSON départ Place de la Liberation

Le projet de réforme du Code du Travail porté par la Ministre Myriam El Khomri est une attaque sans précédent contre le monde du travail et les droits des salariés. En effet, il vise, entre autre, à inverser la hiérarchie des normes pour que l'accord d'entreprise prédomine tant sur le Code du travail que sur les Conventions Collectives.

La mobilisation du 9 mars, notamment en Dordogne initiées par les organisations syndicales (CGT, FO, FSU) avec 3500 manifestants, ont contraint le gouvernement à des concessions sur la loi Travail.

Pour autant les aménagements annoncés par le Premier Ministre ne changent pas la philosophie générale du projet. Il ne répond pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salarié-e-s et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation. La création d’emplois de qualité ne justifie pas la casse du code du travail mais nécessite un changement de politique économique et sociale.

Ce texte continue à diminuer les droits des salarié-e-s et à accroître la précarité, notamment des jeunes. Décentralisation de la négociation collective au niveau de l’entreprise et affaiblissement des conventions collectives de branches, fragilisation des droits individuels acquis, mise en cause des majorations des heures supplémentaires, facilitations des licenciements, affaiblissement de la médecine du travail… sont autant d’exemples de régressions qui demeurent.

L’universalité de la garantie jeune sans les moyens en conséquence relève d’un effet d’annonce. Face au chômage et à la précarité auxquels sont confrontés les salarié-e-s, les femmes et les jeunes en particulier, l’urgence est à la conquête de nouveaux droits.

Pourquoi ce projet est-il dangereux ?

Actuellement, la « hiérarchie des normes » signifie que les droits du salarié partent du Code du Travail pour aller jusqu'au contrat de travail en passant par des conventions et des accords :

Code du travail ----> Accords de Branche ---> Conventions Collectives ----> Accords d'Entreprise ----> contrat de travail

La particularité est que chaque négociation ou accord ne peut-être que plus favorable au salarié (une Convention améliore le Code du Travail, un Accord d'Entreprise améliore une convention etc.…).

Vouloir inverser cette hiérarchie pour privilégier l'accord d'entreprise est donc lourd de conséquence puisque c'est la condamnation à mort du Code du Travail !

Faire croire que ces accords reflèteront les souhaits de la majorité des salariés est une fumisterie : En effet, un syndicat ayant recueilli 30 % des voix aux élections professionnelles pourra, par voie référendaire, faire valider un accord pourtant moins favorable que la Loi !  

Mais ce n'est pas tout…

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LE 2 DÉCEMBRE À 17 H 30 RASSEMBLEMENT DEVANT LA PREFECTURE DE PERIGUEUX EN SOUTIEN A NOS CAMARADES D’AIR FRANCE

 

 

LE 2 DÉCEMBRE À 17 H 30

RASSEMBLEMENT DEVANT LA PREFECTURE DE PERIGUEUX

EN SOUTIEN A NOS CAMARADES D’AIR FRANCE ! 

Des milliers de salariés sont menacés de perdre leur emploi, à l’exemple des personnels d’Air France. La violence patronale avec une complaisance gouvernementale, suscite colère et indignation qui se traduisent par des actions collectives mobilisant les salariés. C’est dans ce contexte que les provocations patronales se multiplient afin de stigmatiser l’action syndicale !

APPEL DE LA CGT AU SOUTIEN DES INCULPÉS D’AIR FRANCE

La direction d’Air France se moque de la justice. Elle n’a pas attendu la décision du tribunal correctionnel de Bobigny devant lequel doivent comparaître, le 2 décembre prochain, 5 salariés de la compagnie aérienne pour « violence en réunion » après l’envahissement du comité central d’entreprise du 5 octobre dernier au cours duquel deux cadres ont perdu leur chemise.

Le 12 novembre dernier, elle a procédé au « licenciement pour faute lourde » de 4 d’entre eux et engagé une procédure contre le cinquième, détenteur d’un mandat syndical CGT.

Cinq salariés donc déclarés coupables avant d’avoir été jugés, auxquels il faut ajouter 12 autres mis à pied sans solde. Au mépris de la justice, la direction, bien qu’elle prétende agir « de façon juste, équitable et rigoureuse », n’hésite visiblement pas à ajouter également le mépris des règles disciplinaires qu’elle a elle-même pourtant édictées.

L’engagement dans l’action syndicale c’est le refus de subir !

C’est pourquoi en ces périodes où patronat et gouvernement affichent leurs volontés de réduire le droit des salariés et des citoyens au profit du monde financier et économique, il leur serait bénéfique de museler la CGT et donc ses militants afin de pouvoir en toute quiétude casser le droit et les conquis sociaux !

Après le temps du recueillement, les rendez-vous revendicatifs et mobilisations programmés doivent avoir lieu en travaillant des modalités permettant d’assurer la sécurité des salariés. Pas plus qu’il n’y a de trêve dans les attaques contre le monde du travail, il n’y aura de trêve dans l’action syndicale pour le progrès social.

Pour les libertés syndicales !  Pour dire NON à la violence sociale ! 

 

Vendredi 27 novembre 2015, tous solidaires d'Alex et de la CGT Fruisec : Rassemblement à 12h devant l'usine FRUISEC à TERRASSON !

Vendredi 27 novembre 2015, 


tous solidaires d'Alex et de la CGT Fruisec 

Rassemblement à 12h devant l'usine FRUISEC à TERRASSON   

Avoir des convictions pour un avenir meilleur et les défendre, ce n’est pas un délit, c’est notre raison d’être. Militer n’est pas un crime ! Par contre, la discrimination syndicale est un délit puni par la loi (article 225-1 du code pénal).

Voici que ressurgissent les heures sombres : pour motif personnel et sérieux on pourrait impunément licencier un salarié. Le simple fait de signifier son désaccord ou d’apporter une contradiction vous met sous le couperet d’un licenciement dans l’entreprise FRUISEC et dans le groupe SAVENSIA – BONGRAIN, surtout si vous êtes à la CGT.

En effet, notre camarade Alexandre SCHNEIDER salarié de l’entreprise FRUISEC dépendant du groupe SAVENSIA ex BONGRAIN, est licencié pour des motifs totalement fallacieux, une cadre de cette entreprise l’avait menacé de lui « régler son compte en septembre » alors qu’il contestait des méthodes managériales violentes….c’est chose faîte !

    L’engagement dans l’action syndicale c’est le refus de subir !

C’est pourquoi en ces périodes où patronat et gouvernement affichent leurs volontés de réduire le droit des salariés et des citoyens au profit du monde financier et économique, il leur serait bénéfique de museler la CGT et donc ses militants afin de pouvoir en toute quiétude casser le droit et les conquis sociaux !

« Casser du militant », briser des élans sociaux, créer des peurs, menacer les militants… la répression syndicale reste un des moyens patronal pour freiner le développement du syndicalisme. Ainsi, Alex, de par son engagement, est menacé de licenciement. Cela signifie un camarade brisé, une vie bouleversée, une famille affectée…

Pour la CGT, porter atteinte à un militant syndical, c’est porter atteinte à toute la CGT, à tous les salariés !

NOUS EXIGEONS

QUE LA DIRECTION DE FRUISEC ET LE GROUPE SAVENSIA REINTEGRENT ALEX !

QUE CESSENT LES METHODES MANAGIERIALES ENTRAINANT LA MALTRAITANCE ET LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL DES SALARIES DE CETTE ENTREPRISE.